mardi

Comment pouvons-nous éviter les vaccins Obligatoire ?

Questions compliqué et très difficile à réaliser, néanmoins les temps changent et j'ai grand espoir qu'un jour cette proposition faite à l'assemblée nationale "visant à introduire une clause de conscience pour les personnes refusant la vaccination obligatoire" soit acceptée et coupe court à ces obligations non justifiés depuis des décennies maintenant.

Comme le dit si bien Jean ROSTAND :

"L'obligation de subir nous donne le droit de savoir..."


Voici le texte de loi très éloquent enregistré à la Présidence de l'Assemblée Nationale le 30 janvier 2003 (comme le temps passe) :

" Mesdames, Messieurs,

La France est l'un des derniers pays européens industrialisés à maintenir encore l'obligation vaccinale. Trois vaccins sont obligatoires en France aujourd'hui : les vaccins contre la diphtérie, le tétanos ou encore la poliomyélite (ces trois derniers vaccins étant obligatoires à dix-huit mois). D'autres vaccins sont obligatoires pour certaines professions, celui contre l'hépatite B étant le plus courant (pour les professions plus exposées au risque, c'est-à-dire le personnel des établissements de prévention et de soins).

La plupart des pays d'Europe occidentale ont petit à petit renoncé à l'obligation antivariolique sans introduire de nouvelles contraintes vaccinales. A l'époque de cette obligation, les Pays-Bas et la Grande-Bretagne avaient aménagé une clause de conscience. Actuellement, douze pays européens voisins n'imposent plus aucune vaccination, estimant pour des raisons d'éthique que cet acte doit résulter d'une démarche volontaire. Cette liberté n'empêche pas qu'une majorité de la population choisisse d'elle-même la vaccination. Cette situation est donc satisfaisante pour tous, les taux de couverture étant parfois supérieurs aux voeux de l'OMS.

Depuis Pasteur, les temps ont changé. L'évolution du niveau de vie et les mesures d'hygiène protègent suffisamment aujourd'hui et ont permis d'éradiquer, ou presque, certaines maladies qui autrefois faisaient peur. Des épidémies comme la tuberculose ou la diphtérie ont régressé grâce aux seules mesures sanitaires et à l'amélioration des conditions d'hygiène. La tuberculose va de pair avec la malnutrition, le stress, la misère ou encore l'habitat défectueux : les Pays-Bas l'ont bien compris et, dans ce pays, la tuberculose a quasiment disparu, les mesures d'hygiène s'étant révélées bien plus efficaces que le BCG, abandonné en 1940. Depuis 1949, qui marque la fin de l'obligation vaccinale en Grande-Bretagne, il n'y a pas eu de quelconque retour à des épidémies dans ce pays.

Aujourd'hui, la diphtérie et la poliomyélite sont pratiquement éradiquées en France et dans les pays occidentaux. La tuberculose ne touche plus que des minorités très défavorisées et très peu de personnes meurent du tétanos. Or, la France maintient encore une obligation vaccinale pour tous les enfants : celle-ci paraît donc de moins en moins justifiée, surtout par rapport à la rigidité des établissements scolaires ou préscolaires en matière de vaccination.

En effet, l'acceptation d'enfants dans ces établissements est soumise à des règles très strictes et les certificats de contre-indication ne sont pas toujours acceptés et, malgré ces certificats, des enfants sont parfois exclus de classes ou de crèches avant de pouvoir être réintégrés, pour certains seulement, après de longues procédures initiées par les parents. Les établissements du secteur médical et socio-éducatif exigent souvent dès l'embauche la vaccination contre l'hépatite B et le BCG. Les salariés déjà en fonction qui présentent un certificat de contre-indication ou refusent ouvertement d'être vaccinés s'exposent souvent à un changement de poste ou à un licenciement.

De plus, la vaccination «à outrance» n'est pas forcément bénéfique pour les individus et pour une population entière, au contraire. De nombreux esprits critiques dans la communauté scientifique commencent à s'inquiéter des effets pervers de mieux en mieux cernés des vaccinations. Nous nous limiterons aux quelques effets suivants :

- les immunités artificielles entravent les «_crises de nettoyages organiques_» qui s'effectuent par l'office des maladies aiguës et elles ont simplement déplacé l'axe des déterminations morbides, favorisant l'essor des maladies chroniques. On a observé une recrudescence de la tuberculose au xixe siècle alors que les campagnes antivarioliques s'amplifiaient_;
- les vaccinations induisent des modifications dans l'écosystème et perturbent les équilibres bactériens et viraux_;
- à vingt ans, l'individu qui respecte le calendrier vaccinal a reçu en moyenne trente-huit stimulations immunologiques. Quelles peuvent être ses capacités de défense quand on sait qu'une seule vaccination provoque un affaissement de l'immunité de plusieurs semaines_? Cet affaiblissement de l'immunité après vaccination a été prouvé par des travaux universitaires à Vienne, rapporté par le New England Journal of Medecine du 19 janvier 1984. La presse médicale a souvent observé lors d'épidémies passées que les populations récemment vaccinées étaient beaucoup plus touchées que les autres. Parce que l'effet du vaccin ne se produit pas tout de suite alors que l'immunodépression après vaccination est immédiate. C'est la raison pour laquelle certains médecins évitent de vacciner au moment d'une épidémie ;
- les virus vaccinaux conservent leur capital génétique et peuvent se recomposer avec des virus muets pour donner naissance à de nouveaux virus très virulents.

En outre, il est bénéfique et nécessaire de contracter les maladies en bas âge car elles sont plus graves si elles se déclarent plus tard (c'est le cas de la rougeole - vaccin non obligatoire mais régulièrement pratiqué - qui est physiologiquement nécessaire pour former le système immunitaire)_; les maladies de l'enfance jouent un rôle capital dans le renforcement de nos défenses immunitaires. L'immunité conférée par beaucoup de maladies est définitive, ce qui n'est pas le cas pour la vaccination et le virus utilisé pour les vaccins vivants (même atténué) est capable d'un retour à virulence normale, voire parfois plus grave encore.

Les accidents dus à la vaccination sont parfois graves et les patients ne sont pas assez informés des dangers. Deux arrêtés et une circulaire rappellent que des précautions doivent être prises avant toute vaccination, alors que c'est loin d'être le cas actuellement. L'information sur les conséquences et sur l'utilité de vacciner n'est pas assez claire et diffusée. Les accidents étant peu répertoriés et très difficilement reconnus comme tels par les médecins ou les organismes, il est très difficile de connaître leur nombre exact. Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave, et la liste des accidents post-vaccinatoires est longue (des atteintes cardio-vasculaires aux troubles mentaux ou caractériels). Les accidents sont plus ou moins dangereux et fréquents en fonction du type de vaccin. Les effets indésirables du vaccin contre le tétanos sont peu fréquents. Par contre, le vaccin contre l'hépatite B est actuellement très controversé (accidents neurologiques ou scléroses en plaque trop fréquents), et la campagne de vaccination massive dans les écoles a dû être arrêtée car son utilité restait à prouver et les risques post-vaccinaux faisaient de plus en plus peur.

Chacun doit pouvoir être libre du choix de ses soins et de la prévention, dans un souci d'intérêt général, d'information et de santé publique, mais aussi dans le respect des libertés individuelles. Il est nécessaire d'obtenir du patient «_son consentement libre et éclairé_» qui sera donné après «_information complète et exacte_» des conditions et des effets d'une action proposée (Conseil de l'Europe, «_les Droits des malades et des médecins_», in Médecine et Hygiène du 4 février 1976).

On peut considérer que la contrainte vaccinale est contraire aux articles 2 et 36 du décret 95-1000 du 6 septembre 1995 portant code de déontologie médicale (respect de la personne et de sa dignité, principe du consentement), aux articles 16, 16-1 et 16-3 du code civil (dignité de la personne, inviolabilité du corps humain, consentement). De plus, la scolarisation sous réserve de vaccination est contraire à l'article 2 du protocole additionnel de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales signé le 13 décembre 1957 et publié au Journal officiel le 4 mai 1974, qui dispose que nul ne peut se voir refuser le droit à l'instruction. "

Voilà un projet de loi qui est tombé aux oubliettes depuis fort longtemps, alors que des lois existent pour nous protéger de cette intoxication vaccinale. Je souhaiterais pouvoir vous donner des moyens d'éviter les vaccins obligatoires, et ne manquerais pas de vous le faire savoir dès que l'occasion se présentera.

A suivre...

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Nous sommes een droit de refuser les vaccins obligatoires lorsqu'ils sont combinés à un vaccin qui ne l'est pas.

Anonyme a dit…

Les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants s engagent ils à régler tout les frais médicaux consécutif à des maladies contre lesquels ils auraient pu s immuniser ?

Anonyme a dit…

Ha oui???? Et l'état ou les laboratoires, s'engage t'ils à régler tout les frais qu'une immunisation provoque??? Au fait, il y as plus de cas d'effets secondaires et de maladies dut au DTP que de malades de ces trois maladies quasiment disparu!!!!!!!! Le raport risques/éffets secondaires est en défaveur des vaccins donc ne me parlez pas des frais médicaux dut à ces maladies quand la balance pèse du coter non vaccination!!!!! Parlez de ce que vous métrisez!!! Merci.

Anonyme a dit…

Si ces maladies ont "quasiment disparu" c est justement parcequ une partie suffisante de la population se vaccine et empêche la propagation ce qui permet a ceux qui ne se vaccinent pas d être protégés !
Alors réfléchissez deux minutes avant d écrire des âneries pareilles!
Le vaccin c est un acte solidaire qui permet de protéger non seulement l individu mais aussi la population dans don ensemble !
Il y a peut être des effets secondaires-rares- mais tellement moindres si on compare avec les effets réels des maladies dont elles protègent !
La santé globale de ma population a fait un bond suite a l invention des vaccins, comme des antibiotiques!
Donc renseignez vous et faites l effort d aller plus loin que sur des sites qui ressassent en permanence des théories du complot et réfléchissez 5 min , ouvrez les yeux et arrêtez de vous faire manipuler!
Tous les vaccins ne sont pas indispensables, mais certains, comme le ROR ou le DTCP sauvent des vies, moyennant une simple piqure et une faiblesse 2-3 jours!
J en ai marre de lire des posts pareils ou sont remis en causes les quelques inventiobs scientifiques qui ont littéralement révolutionné la médecine ! On a combien d autres moyens de PREVENIR les maladies?
Vous préférez que votre gosse soit pris en charge en réanimation pour une encéphalite virale ?
A bon entendeur...

Gérald a dit…

Vous en parlerez avec mon ami qui a perdu son enfant de 4 mois à cause du vaccin. Réponse des médecin "c'est extrêmement rare. Demandez aussi à l'OMS qu'il vous communique la deuxième cause de mortalité des enfant en Europe : Les médicaments !
Et pourtant il vous soulage quand vous êtes adulte
Demandez à un médecin comment fonctionne le système immunitaire des nouveau nés, il arrive à maturation 6 mois à 1 an après sa naissance. Et vous voulez déjà lui injecter des soi disant microbes pour qu'il puisse se défendre mais la machine complexe humaine n'est pas prête avant cette période.
Qui que vous soyez, j'ai été comme vous prônant la vaccination parce-qu'on m'a enseigné que c'était bon pour la population, je me suis aussi documenter et renseigner des 2 côtés. Il y a trop de zone d'ombres pour qu'une personne un tant soi peu intelligente ne se pose pas la question et ai des doutes sur cette mascarade.
Ça ne choque personne que l'on impose aujourd'hui encore le vaccin contre l'hépatite B, avec le DTP, quand on se souvient du fléau des années 90...
Gérald l'auteur de se Blog